La Saint Sylvestre à l’Atelier

 

Mercredi 31 décembre, de 20h à 1h,

l’Atelier Guy Martin ouvre ses portes

pour fêter la Saint-Sylvestre

autour d’un cocktail participatif.

 

Au programme :

des plats miniaturisés à finaliser avec les chefs de L’Atelier.

Comment réaliser une émulsion à l’huile de truffe blanche ? Quelles sont les techniques pour faire des makis de canard fumé au foie gras ?…

Flavien, le directeur de L’Atelier, Cyril, le chef, et toute l’Equipe transmettront leur savoir-faire

pour faire de cet événement si unique un moment de partage à la fois festif et ludique.

Et bien sûr pour célébrer dignement cet évènement, L’Atelier trinquera au champagne Ruinart Brut servi à l’accueil en apéritif et lors des 12 coups de minuit.

Passion Epicurienne

Découvrez ce site réalisé et tenu par Cyrille Flasse, passionné de la Cuisine et à qui Guy Martin a été le premier a apporté son soutien en 2007.

 

Passion épicurienne est un site qui met en avant  autant  la cuisine gastronomique (avec l’aide de grandes maisons), que la cuisine étrangère et de terroirs.

C’est un site qui vous informe en détail mais clairement sur les épices, les fruits et les vins (avec des spécialistes).

Pour finir, Passion épicurienne vous donne des idées de petites excursions avec des micro-reportages…

 

 

Gastronomie, cuisine de terroirs, cuisine étrangère, vins et tourismes

sont les mots-clefs pour ce site gourmand!

 

 

http://passionepicurienne.blogspot.fr

Ecole Seishin à l’Atelier Guy Martin

Samedi 29 novembre et lundi 1er décembre, des élèves de l’Ecole Seishin de Tokyo ( Tokyo Seishin Technical College for Cooking )  sont venus partager un atelier participatif à l’Atelier Guy Martin.

 

Durant ces deux jours, les élèves ont appris des techniques culinaires de Guy Martin.

 

Echange, écoute et convivialité étaient au rendez-vous…

 

Ce fut une expérience enrichissante pour tout le monde.

 

http://www.seishingakuen.ac.jp/index.shtml

La Recette de Guy Martin.

Retrouvez la recette d’un plat signé Guy Martin, chef français, étoilé Michelin, officiant au restaurant Le Grand Véfour, à Paris.

 

-Coquilles Saint Jacques de la baie de Saint Brieuc en carpaccio de mangue.

 

Avec Epicerie Fine et Cuisine TV. Un produit d’exception et une recette inédite pour le sublimer.

 

Pour en savoir un peu plus :

 

Pêchée dès le Moyen-Age, la coquille devient vite le symbole des Pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle. De cette vénération elle gardera un nom : coquille Saint-Jacques.
Aujourd’hui la Baie de Saint-Brieuc en est devenue le principal gisement de pêche en France. Nature ou cuisinée, la coquille Saint-Jacques offre toujours le meilleur d’elle-même. Juste pochée, poêlée ou marinée, elle reste délicate et raffinée. Ses saveurs subtiles et parfumées n’ont d’égales que ses qualités nutritionnelles.

 

Il existe une multitude de variétés de mangues de par le monde : on en aurait ainsi dénombré plus d’un millier en Inde, véritable berceau de ce fruit exotique. Les variétés diffèrent par la couleur de leur épiderme et de leur chair ainsi que la consistance et le parfum de cette dernière.

 

 

Bonne dégustation!

La Recette de Guy Martin.

Retrouvez la recette d’un plat signé Guy Martin, chef français, étoilé Michelin, officiant au restaurant Le Grand Véfour, à Paris.

 

-Persillé de Tignes dans une pomme darphin au basilic.

 

Avec CuisineTv et Epicerie Fine.
Une recette simple, originale et raffinée.

 

Pour en savoir un peu plus :

 

Le fromage Persillé de Tignes est, comme son nom l’indique, fabriqué près du village de Tignes, en Savoie. Selon une méthode ancestrale. C’est un fromage très ancien. La légende veut que Charlemagne lors de la traversée des Alpes découvrit ce fromage et l’ayant apprécié, il en fit apporter à sa cour à Aix-la-Chapelle.
Consommé jeune, le Persillé de Tignes possède un goût lactique et salé. Au contraire, plus il vieillit plus sa pâte devient légèrement poivré et fruité.

 

La darphin est une galette de pommes de terre coupées en julienne et poëlées.

 

Le terme «basilic», qui est apparu dans la langue française en 1120, désignait à l’origine un serpent mythique dont le regard pouvait tuer, à moins qu’on ne l’ait aperçu le premier. Le mot vient du bas latin basilicum qui l’a emprunté au grec basilikos, « petit roi ». Ce n’est qu’en 1398 qu’on a commencé à l’employer pour désigner l’aromate, possiblement parce que, selon certains, son arôme est tel, qu’il peut figurer sur la table des rois, ou qu’il faisait traditionnellement partie d’un onguent ou d’un médicament magistral.
Il porte aussi les noms d’«herbe royale», d’«oranger des savetiers», d’«herbe aux sauces», de «pistou», ce dernier mot, d’origine provençale, signifiant «broyer, piler», tout comme pesto d’ailleurs, son équivalent italien.